A des milliers de kilomètres d’altitude, c’est à toi que je pensais.

--

J’ai commencé ce texte dans l’avion il y a un peu plus de 3 ans aujourd'hui et il prend une tournure autre que ce qui était prévu.

Sur le chemin du retour, je pensais à toi.

Je ne pouvais penser à rien ni personne d’autre d’ailleurs.

Je souriais, optimiste malgré tout quant à la suite des événements.

Et je me suis rappelé que Dieu veille et que tout arrive (ou pas) pour une raison.

Toutefois, les choses ne se passent pas toujours comme on le veut.

Nous sommes devenus de parfaits étrangers à ce jour.

Je mentirais si je te disais que ça ne me fait rien.

Mais ce qui est vrai par contre, c’est que j’ai appris à me prendre des portes,

J’ai appris à clore des chapitres, à terminer des livres et les refermer.

Or, il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose alors qu’elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu’elle vous est mauvaise. C’est Dieu qui sait, alors que vous ne savez pas. Al Baqarah — 216

Il ne s’agit que ce ca, a la fin de la journée.

Et chaque porte qui se ferme, nous dirige vers celle qui est ouverte pour nous.

Alors je continue de me prendre des portes, avec le sourire,

Parce que je sais que je ne suis plus très loin de MA porte. 😊

Je m’appelle Fady, et j’apprends à terminer mes brouillons. Applaudis, si tu veux bien, ça me ferait plaisir.

--

--

Akeelah 🧚🏽‍♀️
Akeelah 🧚🏽‍♀️

Written by Akeelah 🧚🏽‍♀️

Moi, mélange de folie discrète et de sérieux, celui d’une adulte pleine d’énergie et de culture.

No responses yet